Le fils d'un Haut Fonctionnaire du Gouvernement Princier de Monaco déféré cette nuit à Paris pour acte de cruauté envers son chiot
Dans la nuit du 6 mai 2021, dans le 15ème arrondissement de Paris, un jeune homme de 22 ans, qui serait connu pour des violences conjugales et des tapages nocturnes, a rué de coups son jeune chien Beagle qu'il avait acheté quelque temps plus tôt sur le Bon Coin.
Ce jeune chiot âgé de 8 mois a eu le malheur de vouloir simplement jouer en mastiquant la cigarette électronique de son maître qui est entré dans une fureur telle qu'il a attaché son chien et l'a frappé si fort pendant 20mn d'après le voisinage que l'animal n'a pas survécu.
Des voisins, choqués par les gémissements du chien ont eu le temps d'enregistrer ses cris de douleurs. L'individu a été interpellé par les fonctionnaires de Police de Paris, placé en garde à vue plus de 48h00 et déféré cette nuit devant le Procureur de la République de Paris ce samedi 8 mai au matin après avoir passé la nuit au Dépôt.
Pendant sa garde à vue, il aurait apparemment insulté une fonctionnaire de police, pour lequel il devrait répondre devant la justice pour des faits d'outrage.
Le prévenu serait le fils d'un haut fonctionnaire du gouvernement princier de Monaco, également étudiant de l'école ESCE INTERNATIONAL BUSINESS SCHOOL à Paris. Malgré l'horreur des faits, il ne sera pas jugé en comparution immédiate mais à une date ultérieure en audience correctionnelle.
L'Association Stéphane Lamart "Pour la défense des droits des animaux" - Reconnue d'Utilité Publique par le Conseil d'Etat et la Société Nationale pour la Défense des Animaux (SNDA) se sont immédiatement constituées parties civiles et leur avocat, Maître Patrice Grillon du Barreau de Paris sollicitera en leur nom que justice soit rendue à ce pauvre chien et qu'une peine sévère à la hauteur de sa souffrance, soit prononcée contre son tortionnaire.
Pour Stéphane Lamart, Président de l'association éponyme : « on ne peut pas tolérer de tels fait d'atrocité et de souffrance sur les animaux, il est urgent que les sénateurs votent rapidement la loi sur la maltraitance animale car il aurait encouru jusqu'à 75 000 € d'amende et 5 ans de prison ».
Photo d'illustration - tout droits réservés à l'association Stéphane LAMART
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