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En effet, le 1er avril 2017, lors d'une journée portes ouvertes organisée par la SPA de Basse-Normandie, le quinquagénaire s'était dirigé, mêlé au public vers le box d'Inca, croisé Beauceron pour s'en prendre à l'animal, tout en dissimulant un couteau. L'animal qui quelques minutes plus tard fut découvert mort par le personnel du refuge, baignant dans son sang.

C'est lors de sa garde à vue, que le tortionnaire a reconnu avoir poignardé Inca un an auparavant. 

L'Association Stéphane LAMART « Pour la défense des droits des animaux » avait déposé plainte avec constitution de partie civile contre le mis en cause.

Lors de l'audience, son avocate, a demandé une expertise médicale pour son client qui souffre de la maladie de Parkinson. L'avocate avait plaidé la relaxe, considérant que les effets secondaires de son traitement auraient influencé ses actes, en entrainant des comportements compulsifs. 

Le tribunal correctionnel a rendu sa décision le lundi 22 février 2021 en présence de notre avocat Maître Patrice GRILLON. Malheureusement, l'altération du discernement a bien été prise en compte et l'assassin d'Inca a été condamné à une simple amende de 500 €. Il devra également verser un total de plus de 20 000 euros de dommages et intérêts aux nombreuses associations de défense des animaux qui se sont constituées partie civile.