Condamnée pour avoir empoisonné et brûlé son chien
ATTENTION PHOTO POUVANT HEURTER VOTRE SENSIBILITÉ
L'association Stéphane LAMART était présente lors de l'audience en CRPC (comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité) du 4 juillet 2024 devant le tribunal correctionnel de Versailles contre une femme qui a brûlé son chien après l'avoir empoisonné pour le tuer.
Les faits se sont déroulés le 13 mai 2024, lorsque des promeneurs ont découvert un chien calciné dans une forêt de Gargenville (78). Le chien, de type American Staffordshire Terrier, était identifié : Tango était âgé de 1 an et 8 mois.
La propriétaire a pu être retrouvée et interpellée grâce à la puce de Tango. La mise en cause a reconnu avoir empoisonné son chien avec des cachets, avant de l'enfermer dans une poubelle où il a agonisé 1 heure avant de décédé. Ce n'est que le lendemain qu'elle a décidé de brûler Tango et de déposer son cadavre dans la forêt.
L'association Stéphane LAMART a déposé plainte pour acte de cruauté. Son avocat Maître Christophe GERARD a plaidé lors de l'audience du 4 juillet 2024 devant le tribunal correctionnel de Versailles.
Ce dernier a rendu son jugement : la prévenue a été condamnée à 6 mois d'emprisonnement avec sursis probatoire, à une interdiction définitive de détenir un animal ainsi qu'à la confiscation de son deuxième chien au profit de l'association Stéphane LAMART. Sur les intérêts-civils, elle a été condamnée à verser à l'association Stéphane LAMART la somme de 800 euros au titre des dommages et intérêts ainsi que 800 au titre des frais judiciaires. Le deuxième chien de la prévenue a été confié à l'association Stéphane LAMART.
Partager :